Affichage des articles dont le libellé est Médias. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Médias. Afficher tous les articles

dimanche 25 décembre 2011

Le Bilan de 2011. Emballage papier : Fonctionnel, Pratique et Éco-responsable

2012 est à nos portes, c’est l’heure du bilan!


Mes nouveaux engagements et mes nombreux déplacements m’ont laissé moins de temps pour bloguer. Je dois aussi partager ce temps consacré au web 2.0 avec les nouveaux médias sociaux, Twitter (ici) et le Groupe que j’ai crée sur LinkedIn : PAPER-BASED PACKAGING (ici).

Je vous présente mes meilleurs voeux pour 2012. Que cette nouvelle année soit emballante, innovante et éco-responsable!

      I.  Conférences et présentations : L’année 2010 fût très riche en conférences et présentations. Voici un condensé de mes diverses communications:

1)   Papier Recyclé et Sécurité Alimentaire: Migration des huiles minérales. Cliquez ici pour télécharger cette conférence que j’ai donnée dans le cadre de la Conférence complètement flexo  organisée par L’Institut des communications graphiques du Québec (ICGQ). 


2)    Recyclable coatings for paper foodservice packaging. You can download here this talk given last November 15th, 2011 in New York (NY, USA) at the Fall Resource Recovery Conference organised by the Global Green USA Coalition for Resource Recovery


3)    Emballage papier : flexible, pratique et éco-responsable. Cliquez ici pour télécharger cette conférence que j’ai donnée dans le cadre de la deuxième édition du colloque sur l’éco-responsabilité organisé par l’Institut des communications graphiques du Québec (ICGQ). 


4)   Bio-coated Paper-Based Flexible Packaging: Functionality and Sustainability. You can download here this talk given at the 2011 TAPPI PLACE Flexible Packaging Symposium, April 5, 2011 in Orlando, Florida USA. 


5)     Case Studies: Functional and Sustainable Paper-based Packaging. You can download here this talk given at the Pira International's fifth annual Sustainability in Packaging conference, February 22-24, 2011 in Orlando, Florida USA. 


Par l’ailleurs, c’est déjà confirmé, en 2012, je serai au (Cliquez sur le titre pour accéder au programme complet):

1)    TappiPlace Conference May 6-9, 2012, Seatle, Washington, USA. Packaging: Functional and Sustainable Coating. You can download here the Technical Program 

2)  Université d’hiver2012. Les 48 heures de la communication pour le développement durable. Les 16 et 17 février 2012 au SPA Eastman en Estrie au Québec. Emballage et suremballage : Au lieu de parler de zéro emballage, il serait plus adéquat de parler de Lutte contre le suremballage; un phénomène qui coûte cher au fabricant et suscite des réactions du client. L'emballage est un bien nécessaire plutôt qu'un mal. Il joue un rôle majeur dans la protection et la conservation des aliments en garantissant la sécurité alimentaire. Il constitue aussi un atout majeur dans la réduction des pertes de produits périssables. Vous pouvez consulter ici, le programme des deux journées.  

    II.  CQVB : Biocomposites et emballages actifs. Cette année, j’ai eu la chance de réaliser deux mandats pour le Centre québécois de valorisation des biotechnologies (CQVB) :

1)      Bioveille: Biocomposites dans l'industrie automobile. L’épuisement des gisements pétroliers, les variations imprévisibles du coût du baril de pétrole et la prise de conscience environnnementale de la nécessité de penser à des options de rechange aux ressources fossiles stimulent la recherche pour développer de nouveaux matériaux renouvelables. Dans ce contexte, les biocomposites s’avèrent être un filon particulièrement intéres¬sant. Obtenus par introduction de fibres naturelles dans une matrice de plastique biodégradable, pétrochimique ou recyclé, les biocomposites sont appelés à remplacer progressivement les matériaux composites issus de la pétrochimie. 

2)     Biotendance : Emballage alimentaire… de passif à actif : Ce numéro de BioTendance® offre un panorama des plus récentes applications des emballages actifs dans le secteur de l’emballage alimentaire. Les enjeux et les cadres réglementaires seront aussi évoqués. Ce numéro sera publié début 2012.

   III.  Articles de vulgarisation. Finalement, en 2011, j’ai été invité à rédiger/contribuer à quelques articles de vulgarisation:

1)   Carton recyclé et sécurité alimentaire : une barrière fonctionnelle à la rescousse! Publié dans le Numéro de juin 2011, du journal interne de Cascades : Le Cascadeur. Cliquez Ici la version francaise & here for english version (Recycled Cardboard and Food Safety: A Functional Barrier to the Rescue!)  

2)     Un Design Emballant : des emballages écolos, beaux, pratiques et efficaces…L’article de Mathieu Gobeil publié dans le magazine Québec Science. Cliquez ici pour consulter l’article.


mercredi 29 décembre 2010

Le Bilan de 2010 : Entrevues médias

En 2010, j’ai donné quelques entrevues médias :

La PresseVous pouvez consulter ici l’article de Stéphanie Bérubé: Hausse du prix du sucre: les cuisiniers changent de recettes

«Certaines entreprises profitent d'un nouveau look pour subtilement réduire la quantité», rappelle Islem Yezza, auteur du blogue Pakbec qui s'intéresse à l'industrie de l'emballage. Le phénomène a été remarqué à la fin de 2008, alors que le prix des denrées s'emballait. Certaines multinationales ont depuis emprunté cette avenue. Leclerc y songe. «Ça pourrait être une option qu'on serait forcés de prendre pour conserver nos marges», confie Jean-Marc Lemoine.

«Les consommateurs sont très sensibles aux augmentations de prix, mais ne remarquent pas s'il y a eu une réduction de la quantité. Surtout que parfois, il ne s'agit que d'un gramme ou deux», dit Islem Yezza, qui travaille présentement pour une entreprise d'emballage en France. La demande pour de nouveaux formats est toujours très forte, dit-il. En France, un magazine spécialisé en consommation a d'ailleurs formé l'Observatoire de l'inflation masquée pour répertorier les produits qui ont subi une subtile cure d'amaigrissement, tout en gardant le même prix. «C'est tout à fait légal, estime Islem Yezza, mais en fait, c'est de l'inflation masquée!»

Le Journal de Montréal. Vous pouvez consulter ici l’article de Éric Yvan Lemay : Québec s'attaque au suremballage

Pour Islem Yezza, qui s'intéresse de près à cette question, l'annonce d'hier est un pas dans la bonne direction. «C'est un bon début. Si on compare à l'Europe, on est toutefois bien loin», dit celui qui tient un blogue où il traite notamment de la question du suremballage.

Là-bas, certaines marques de dentifrice ont même laissé tomber la boîte qui entoure le tube de pâte. Il croit que les entreprises doivent réaliser qu'il y a des économies à faire de bien gérer les emballages. «Réduire de deux grammes un emballage peut paraître bien peu, mais si on multiplie par des millions, ça peut permettre de diminuer énormément de plastiques», illustre-t-il.

Magazine Imagine. Vous pouvez consulter ici l’article de Guillaume Jousset : Éco-conception des Emballages : Verts, Innovants et Emballants

«Le problème, ce n’est pas l’emballage, totalement indispensable, mais le suremballage, qui coûte cher au fabricant et à l’environnement, tout en agaçant prodigieusement les clients».

En 2008, chaque Québécois a généré une moyenne de 1,69 tonne de résidus, dont plus d’un tiers d’emballages. Au final, seulement 57% de nos déchets sont récupérés et revalorisés. Le reste encombre les sites d’enfouissement. Dans la ruée vers une consommation responsable, les emballages sont de plus en plus dénoncés et pourtant, ils sont un mal nécessaire, ne serait-ce que pour des questions de sécurité alimentaire, de résistance ou d’étanchéité du produit.

mercredi 16 juin 2010

BioVeille : Agropolymères et biopolymères de source bactérienne

Dans un contexte mondial marqué par une diminution des ressources fossiles et une hausse croissante du prix du pétrole, la mise en marché de matériaux biodégradables produits à partir de ressources renouvelables et non renouvelables représente un facteur majeur pour l'essor du développement durable. À cet effet, les bioplastiques suscitent un intérêt grandissant dans plusieurs secteurs industriels.

Ce BioVeille® présente un aperçu de certaines recherches et innovations réalisées au Québec, au Canada et dans le monde touchant les agropolymères et les biopolymères de source bactérienne.

Sommaire :
Introduction
Enjeux technologiques
Biopolymères d'origine végétale
Biopolymères issus de fermentation bactérienne
Centres de recherche et regroupements spécialisés
Glossaire
Sites Internet de référence
---

mercredi 9 décembre 2009

Bioplastique : L’Estrie sous la loupe de Novamont

L’Estrie, terre d’accueil d’une usine de bioplastique dérivé de matières premières d’origine agricole?

A Lire aussi :
---


Les bioplastiques de Novamont convoités par l’Ontario

Nous sommes encore très loin de la coupe aux lèvres, mais la région estrienne fait tout de même partie de la réflexion de l’entreprise italienne Novamont, qui produit le Mater-Bi, une résine faite à partir de matières premières d’origine agricole et d’amidon non modifié génétiquement. Sa production se chiffre maintenant à 60 000 tonnes. Novamont approvisionne l’entreprise sherbrookoise Nova Envirocom, qui sert de cette résine dans la fabrication de ses ustensiles compostables. Le Mater-Bi permet de produire divers objets compostables, comme les ustensiles et les sacs.

Le directeur général de Novamont France, Christophe Doukhi de Boissoudy, est de passage à Sherbrooke ces jours-ci afin de rencontrer plusieurs intervenants, dont des représentants de l’université de Sherbrooke. Il a aussi prononcé une conférence, hier, à l’hôtel Delta, dans le cadre des rencontres maillage d’affaires, en collaboration avec le créneau Bio-industries environnementales de l’Estrie.

Novamont n’est pas encore installée en Amérique, mais elle regarde actuellement les possibilités qui s’offrent à elle.

«Nous souhaitons développer nos usines de production en fonction des bassins d’approvisionnement des matières premières. Nous utilisons des matières premières d’origine végétale, principalement l’amidon », explique M. Doukhi-de Boissoudy, qui est aussi président du Club Bioplastiques, une association française pour le développement des bioplastiques. L’entreprise créée en 1989 utilise aussi l’huile végétale, plus particulièrement l’huile de tournesol, dans ses procédés.

Dans ses critères d’implantation, Novamont s’intéresse aux possibilités de transformation des matières premières et à la proximité des marchés. L’entreprise qui possède deux usines en Italie, dont une bio-raffinerie, veut se développer au niveau mondial.
---
« L’incitation politique » influencera aussi la décision des dirigeants de la compagnie. « le développement des bioplastiques et des débouchés agricoles se font lorsqu’il y a un souffle qui est donné par les politiques », commente M. Doukhi-de Boissoudy, en entrevue à La Tribune. Interrogé sur ses volontés, il précise cependant qu’aucune étude de marché n’a été réalisée en Estrie. « nous avons à réfléchir aux endroits stratégiques », répond-il.
---
Nova Envirocom qui importe la résine de Novamont, verrait évidemment de très bon œil l’arrivé possible d’une telle usine dans la région. Aux yeux de Pierre Morency, fondateur et président de Nova Envirocom, il est clair que l’Estrie et le Québec, ont été les leaders dans le domaine des bioplastiques. Les conditions préalables pour développer un tel marché sont réunies.
---
De plus, selon lui, c’est dans la région que l’on retrouve le plus de terres en friche et la plus forte concentration d’agriculture biologique. Avec les changements climatiques qui augmentent les pertes de culture, M. Morency croit qu’il faut utiliser ces pertes comme matières premières dans la production de bioplastique.
---
Selon un document de Nova Envirocom s’appuyant sur des données du chercheur Islem Yezza, l’emballage est l’une des plus grandes sources de pollution et la majorité des emballages disponibles sur le marché québécois sont à base de pétro-plastiques.
---
Christophe Doukhi-de Boissoudy estime aussi que l’on pourrait développer une industrie autour de la pellicule servant à la fabrication de sacs, par exemple. Quelque 70% de la production de résine de Novamont sert à fabriquer cette pellicule.
---
Source : La Tribune, Isabelle Pion, Sherbrooke, 9 décembre 2009.
---

mercredi 7 octobre 2009

L’emballage à l’heure des blogs et de Twitter

Les médias sociaux prennent de plus en plus de place dans notre vie et deviennent des outils de communication de premier ordre.

Selon un récent sondage réalisé pour le site CareerBuilder, près d'un employeur américain sur deux utiliserait maintenant les réseaux sociaux tels que Facebook et LinkedIn pour recruter des candidats. De plus, une enquête de la société de marketing Hubspot menée auprès de 1500 entreprises aux États-Unis démontre que les PME qui tiennent un blog accroissent de 55% le trafic sur leur site internet.

Comme les autres secteurs, l’industrie de l’emballage doit se mettre à la page de ces nouveaux outils de communication tel que les blogs et Twitter.

Les acteurs de l’industrie de l’emballage ont tout à gagner à se doter d’un blog. Il s’agit en effet, d’un excellent canal pour communiquer auprès d’un public cible, des clients, voire des médias. Il est vrai qu’un blog implique un investissement en temps, beaucoup de motivation et de persévérance, mais les fruits que l’on peut en récolter sont surprenants et parfois même au-delà des espérances : notamment, développer le réseau de contacts et accroître la visibilité et la crédibilité.

Le dernier né des médias sociaux qui a le vent en poupe, Twitter, est un service de microblogging, permettant aux utilisateurs de bloguer grâce à des messages courts (140 caractères maximum). Il s’agit d’un excellent moyen pour acquérir plus de visibilité, développer son réseautage et faire sa promotion. Le secret pour ce faire un nom sur Twitter réside dans l’art de la « phrase d’accroche » qui attirera l’attention et suscitera la curiosité.

Il est clair que les acteurs de l’industrie de l’emballage doivent s’adapter à ces nouveaux medias sociaux qui changent considérablement les façons d’interagir avec les clients et fournisseurs et plus généralement les manières de conduire leurs affaires.
--

jeudi 20 novembre 2008

L'épicerie - Radio-Canada : Le suremballage en épicerie

Envelopper, emballer, empaqueter, ensacher, les moyens ne manquent pas pour protéger les aliments. Certains emballages sont difficiles à recycler, comme le styromousse utilisé en boucherie, en poissonnerie ou en fromagerie. Et c'est encore pire avec les produits préemballés où les emballages jouent souvent la surenchère. (L'épicerie - Radio-Canada )


Merci à Sylvain pour la vidéo
Vous pouvez consulter ici le dossier consacré au suremballage (Over-packaging)
---
---

samedi 30 août 2008

Listériose : des «emballages intelligents» pour éviter la contamination

La crise de la listériose aurait pu être évitée, ou du moins atténuée, si l’industrie agroalimentaire canadienne s’était con­vertie plus tôt au dernier cri en matière d’emballage, les «emballages intelligents», déplore un spécialiste.
--
Selon Islem Yezza, de l’Institut de technologie des emballages et du génie agroalimentaire (ITEGA), au collège Maisonneuve, la technologie des emballages a beaucoup progressé au cours des dernières années. «Cela ne joue plus seulement un rôle de barrière, comme avant. (…) Ce que cet épisode de listériose nous dit, c’est qu’il nous faut des emballages qui donnent des informations (sur la qualité du produit emballé) que le consommateur peut voir.»
--
Et il est maintenant possible, dit-il, de fabriquer des emballages qui détectent certains microbes et avertissent l’acheteur éventuel que leur contenu est contaminé. L’entreprise américaine Sira Technologies, par exemple, produit des emballages dont le code barre se brouille lorsque la viande est infectée. Ces étiquettes intelligentes ne pourraient évidemment pas prévenir l’infection, mais elles éviteraient que de fortes doses de microbes atterrissent dans nos assiettes.
---
Or, poursuit M. Yezza, dont le travail consiste à sensibiliser l’industrie à ces percées technologiques, «nous sommes très en retard par rapport à ce qui se fait en Europe (...où), avec la crise de la vache folle, les gens portent vraiment attention à ça. (…) Ici, il y a un potentiel, mais il faudrait une vision à plus long terme et arrêter d’attendre que le problème survienne pour agir.»
--
M. Yezza espère que la crise de la listériose servira au moins à ouvrir les yeux de l’industrie. «Évidemment, ces emballages coûtent plus cher. Mais avec tout ce qui vient de tomber sur Maple Leaf, cela montre qu’attendre peut coûter très cher aussi…» Aux États-Unis, dit-il, le marché des emballages intelligents croit au rythme de 30 % par année.
---Il n’a pas été possible, hier, de s’entretenir avec le Conseil de la transformation agroalimentaire du Québec pour avoir l’opinion de l’industrie dans son ensemble. Chez l’entreprise Olymel, cependant, le porte-parole Richard Vigneault dit que ces emballages intelligents ne sont pas utilisés. La compagnie, dit-il, prend toutes les précautions nécessaires et a des experts qui demeurent «à l’affût» de ce genre d’innovations, mais ceux-ci n’en ont apparemment pas encore trouvé qui fasse l’affaire.

«Si Olymel avait connaissance d’un emballage qui permet de faire ces choses-là, on le considérerait sérieusement, c’est certain», dit-il.

Source : Jean-François Cliche, Le Soleil, Québec
À lire ou à relire :
Crise de la Listeria : l’emballage intelligent à la rescousse

Des emballages intelligents à la rescousse?
---

vendredi 1 août 2008

Bientôt une usine de fabrication de bioplastique à Sherbrooke?

La nouvelle a été rapportée dans plusieurs médias (ici, ici et ). La ville de Sherbrooke veut être reconnue comme pôle environnemental spécialisé dans les bioindustries, notamment pour la production de plastiques biodégradables. La société italienne Novamont, leader mondial des bioplastiques (le Mater-Bi®, le plastique à base d’amidon) serait, en effet, sollicitée pour venir s’installer en Estrie.

Jeudi dernier, j’ai réalisé une entrevue sur les ondes du "FM parlé de l'Estrie", à l’émission « Bonjour l’Estrie » pour commenter cette nouvelle.

Les bioplastiques devraient offrir dans les prochaines années des perspectives commerciales intéressantes. D’après une récente étude réalisée en 2007 par BCC Research, le marché mondial des bioplastiques a atteint 541 millions de livres et devrait passer à plus de 1,2 milliards de livres en 2012. En Amérique du Nord, ce marché reste relativement restreint (35-40 millions de livres, toutefois, il croît à un rythme très intéressant de l’ordre de 10-20%. Il n’existe pas de statistiques pour le marché québécois, mais on assiste à un véritable engouement sur les produits biodégradables et compostables.

L’installation d’une usine de fabrication de bioplastique à Sherbrooke présente de nombreux avantages :
  1. C’est un projet fort promoteur pour le développement de la région de l’Estrie, et ce d’autant plus, qu’il s’agit d’une région agricole. La matière première se trouve donc à proximité. La pomme de terre pourrait ainsi être une source intéressante d’amidon.
  2. Sherbrooke est une ville leader en matière de compostage avec le tri à 3 voies et les fameux bacs bruns. Les citoyens de l’Estrie sont particulièrement conscients des enjeux entourant la gestion matières résiduelles. Cela devrait donc faciliter l’implantation d’une telle usine.
  3. Le positionnement géographique de l’Estrie est un atout stratégique : près de la frontière, ce qui pourrait faciliter l’accès au marché américain.
  4. Ce projet présente des avantages en termes d’emploi dans la région.
  5. Plus largement, cela permet au Québec de se positionner comme une société et une économie ouverte aux technologies vertes et durables
Toutefois, le développement des bioplastiques au Québec doit être réalisé de façon raisonnée, c'est-à-dire qu’il faut pouvoir démontrer leurs bénéfices réels pour l’environnement, pour que le boom ne vire pas en Fiasco.
---