Aujourd’hui, j’ai donné une conférence dans le cadre de la demi-journée: démystifier les systèmes de certification papier, organisée à l’ICGQ (Montréal).
Il s’agit en fait d’une présentation que j’ai rapidement préparée hier pour remplacer au pied levé un conférencier qui venait de se désister. Ma conférence n’avait donc pas pour prétention d’être une présentation exhaustive sur le sujet, mais plutôt un bref état des lieux des systèmes de certification en vigueur au Canada.
L'objectif de cette journée était de démystifier les différentes certifications afin que les consommateurs opèrent des choix éclairés et durables. Trois certificateurs (FSC, SFI et CSA) sont intervenus.
Ce que je retiens, c'est que le Canada est chef de file en matière de certification forestière et que les certifications sont des instruments crées pour contrôler les pratiques et actions largement critiquées de l’industrie forestière.
Toutefois, je trouve que la multitude de certificateurs et surtout la prolifération des logos peut avoir l’effet inverse à celui recherché. Le consommateur ne s’est plus où donner de la tête et en vient à s’interroger sur leur fiabilité.
Et la question demeure : Comment se retrouver dans cette « forêt » de logos ?
Certification papier au Canada : États des lieux Il s’agit en fait d’une présentation que j’ai rapidement préparée hier pour remplacer au pied levé un conférencier qui venait de se désister. Ma conférence n’avait donc pas pour prétention d’être une présentation exhaustive sur le sujet, mais plutôt un bref état des lieux des systèmes de certification en vigueur au Canada.
L'objectif de cette journée était de démystifier les différentes certifications afin que les consommateurs opèrent des choix éclairés et durables. Trois certificateurs (FSC, SFI et CSA) sont intervenus.
Ce que je retiens, c'est que le Canada est chef de file en matière de certification forestière et que les certifications sont des instruments crées pour contrôler les pratiques et actions largement critiquées de l’industrie forestière.
Toutefois, je trouve que la multitude de certificateurs et surtout la prolifération des logos peut avoir l’effet inverse à celui recherché. Le consommateur ne s’est plus où donner de la tête et en vient à s’interroger sur leur fiabilité.
Et la question demeure : Comment se retrouver dans cette « forêt » de logos ?
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