As part of the exclusive agreement, Naturally Iowa's products, packaged in Ingeo™ biopolymer bottles from NatureWorks LLC, will be offered to foodservice and institutional customers together with GreenGuard's Orca Green™ composting system. This results in a "Closed Loop" environment, whereby used bottles can be composted and returned to nature.
Think Right, Act Right, Pack Right ..................Surveiller, Anticiper, Innover et Emballer
vendredi 27 février 2009
PLA-bottled beverages couple with compact, on-site compost unit
As part of the exclusive agreement, Naturally Iowa's products, packaged in Ingeo™ biopolymer bottles from NatureWorks LLC, will be offered to foodservice and institutional customers together with GreenGuard's Orca Green™ composting system. This results in a "Closed Loop" environment, whereby used bottles can be composted and returned to nature.
jeudi 26 février 2009
Innovation is Key to Sustainable Packaging
“The packaging industry has long focused on reducing to the minimum necessary packaging. But this is not enough – we can do more through innovation,” said William F. Weber, vice president and general manager – DuPont Packaging & Industrial Polymers, during the keynote address at the Packaging Strategies CEO Summit.
“Packaging provides value in preventing costly food waste. And, in the future, all packaging can provide added value through recycle and recovery,” Weber added. “By broadening our thinking about what recycling means from a narrow focus on physical recycling to a broad suite of solutions that includes capturing the energy in packaging through waste-to-energy or the nutrient value of food and packaging through composting, we can deliver sustainable value to our customers, to consumers and to the world. This must be our goal as an industry going forward.”
As an example, Weber outlined DuPont’s approach to sustainable growth. He described sustainable packaging, which is aligned with the company’s goals to create shareholder and societal value by reducing the environmental footprint of the value chains where it participates, as an important focus area for DuPont, a leading provider of high performance and innovative performance materials.
Weber called on the packaging industry to take three actions:
1. Develop new technologies that will enable broad recycling in the future. Examples include waste-to-energy, better sorting technologies among others.
2. Set standard measurement and reporting metrics that communicate the footprint for packaging products and the end-of-life recommended disposal method.
3. Support the cap-and-trade approach as a way to establish clear, predictable market-based requirements to reduce greenhouse gas emissions, providing a clear pathway to rapid transformational change to the low-carbon economy the industry seeks.
According to Weber, collaboration will be key to developing technologies and systems for end-of-life solutions that enable this vision, but in light of the economic environment, collaborative innovation is important now.
“We absolutely must drive waste from the packaging value chain. Initiatives to cut waste will yield improved sustainability as well as cost-effectiveness,” Weber said.
Read more…
mercredi 25 février 2009
Emballage Haut de Gamme: l'art du beau et du responsable
Cliquez sur l’image pour découvrir les tendances, les marchés, les artisans…
Sacs « biofragmentables » : SERPBIO épingle l’AFNOR
Fondé en février 2005 par des universitaires et des industriels désireux de fédérer des compétences dans le domaine des matériaux biodégradables, SERPBIO est dans tous ses états après que l’un des ses membres eut fait ses courses à l’Association française de normalisation (AFNOR). Le malchanceux s’est en effet retrouvé avec son recueil de normes emballé à l’intérieur d’un sac en plastique portant la mention « biofragmentable ». Il n'en fallait pas plus pour déclencher l'ire de l'association. Dans un courrier qu’il adresse au directeur général de l’organisme de normalisation, Guy César, président du Serpbio, rappelle à l’Afnor que ces sacs n’ont rien de « bio » puisqu’il s’agit de sacs en polyéthylène (PE) « additivé » et que, par ailleurs, ils ne répondent à aucune norme en vigueur.
mardi 24 février 2009
BlogPack : Le grand Déballage
Sur BLOGPACK, vous trouverez 4 rubriques principales:
- EyePack : 2 paires d’yeux toujours à l’affût… elles scrutent pour vous les dernières tendances, innovations, techniques, matériaux et vous tenons informer en permanence...
- EchoPack : les questions environnementales vous interpellent ? Elles aussi…dans la jungle en péril des emballages « bio » et « éco », voici les dernières innovations pour des solutions durables et efficaces…
- HitPack : l’emballage dans tous ses états pour le meilleur et pour le pire…
- CoachPack : vous vous posez encore des questions ? Vos deux coachs sont là pour y répondre : définitions, tutoriaux, trucs et astuces, conseils,...
Packaging of the week: Envelope-fold tetrahedron for snack food
Via Packwebasia
A resource-saving thin film for snack food was used by Mitosaien Co Ltd to form this tetrahedron-shaped (a polyhedron composed of four triangular faces, three of which meet at each vertex) package.
As an envelope fold single-sealed along the top side, it is suitable for use for food such as fresh salads, snacks and confectionery and other soft materials.
The package is user-friendly and easy-to-open. The side that the consumer should open the package from is highlighted with a color border, while the side of the package that would function as the centre of the base is highlighted in a different color shade. Arrows and instructions explain how the package should be opened from the centre.
The side to be opened has a small tab cut at the centre to help consumers open the package. The film is creased on two faces to facilitate easy tearing.
When the package is torn open, the bag opens and forms a boat-shaped tray, with the two un-creased faces forming the base. This keeps the package contents from spilling over.
This package won an award in the Japan Packaging Institute, Good Packaging 2008 competition in the Food Category and was on display at Tokyo Pack International Packaging Exhibition in October 2008.
---
lundi 23 février 2009
Recycling not a problem for bioplastics
"This finding is significant because it demonstrates that there is no technological barrier to recycling bottles made from plants instead of oil," according to NatureWorks.
---
---
samedi 21 février 2009
Canada: vers la conception d'emballages plus écologiques
Le plan vise également à favoriser l'innovation afin de concevoir des emballages plus écologiques, puisque les entreprises seraient forcées d'améliorer la durabilité des produits, à défaut de quoi elles devront faire face à des conséquences financières.
"L'argument dépassé selon lequel c'est l'économie contre l'environnement ne tient simplement plus la route", a affirmé le ministre de l'Environnement de l'Ontario et président du CCME, John Gerretsen.
Le plan est jumelé avec une autre stratégie sur l'emballage réutilisable, qui établirait des normes plus strictes visant à s'assurer que les emballages puissent être réutilisés, recyclés ou au moins récupérés et gérés de manière à ce qu'ils ne soient plus simplement jetés ou enfouis dans des sites prévus à cet effet.
"Le CCME cherche à transformer le Canada, l'un des pays dans le monde qui génère le plus de déchets par habitant, en un pays qui deviendrait le chef de file dans la conception de produits durables et dans la gestion des produits à la fin de leur vie", a-t-on pu lire dans un des documents de travail du conseil.
Selon Statistique Canada, le Canada a généré presque 1100 kilogrammes de déchets solides municipaux par personne en 2006, une hausse de 8 pour cent par rapport à 2004.
Mais les consommateurs ne sont pas les seuls responsables puisqu'ils ne peuvent pas souvent décider de l'emballage des produits qu'ils consomment. De plus, les entreprises chargées de l'emballage ne prennent pas souvent en compte la fin de vie de leurs produits lorsqu'ils les conçoivent, selon un autre document de travail.
Le plan, qui pourrait être implanté d'ici à six ans, forcerait les entreprises à être responsables de la récupération des emballages, des documents imprimés, des ampoules fluorescentes compactes, des produits électroniques et électriques, des déchets ménagers dangereux et spéciaux et des produits pour l'automobile.
D'ici à huit ans, le plan couvrira également la construction et la démolition des matériaux, les meubles, les textiles et les tapis et les électroménagers, particulièrement ceux faits avec des substances appauvrissant la couche d'ozone.
Les entreprises cotiseraient à un système visant à gérer collectivement les produits qu'on dit "historiques" ou "orphelins", qui ont été crées par des entreprises qui ne sont plus en affaires et des entreprises qui essayent d'éviter de se conformer à la nouvelle réglementation.
Le plan propose également la nomination d'un ombudsman qui pourrait répondre aux plaintes du public sur l'emballage inadéquat et la responsabilité des entreprises.
Une porte-parole de l'Institut canadien du droit et de la politique de l'environnement, Maureen Carter-Whitney, a affirmé qu'elle était satisfaite des réformes proposées, mais qu'elle aurait souhaité qu'elles soient implantées plus rapidement.
LCA for six types of grocery bags
jeudi 19 février 2009
Découverte emballante: PreventPack
J’ai découvert aujourd’hui le site Preventpack qui propose des informations sur les actions des entreprises en matière de prévention des emballages. La prévention vise à minimaliser l'impact environnemental du couple produit/emballage, par exemple en limitant la quantité d'emballages, en évitant les matières nocives, ou encore en réduisant l'utilisation de matières premières primaires grâce au recyclage.
Preventpack édite régulièrement des fiches relatives aux différents aspects de la prévention des emballages. J’ai trouvé ces fiches trés instructives et agréables à lire. Vous pouvez consulter notamment la dernière fiche consacrée aux emballages actifs et intelligents.
Nb: Il est dommage que l’on ne puisse pas s’abonner à leur Newsletter (au canada nous avons des codes postaux avec des chiffres et des lettres, ce qui n’est pas accepté dans le formulaire).
---
mercredi 18 février 2009
Canada : Consultations sur l'emballage écologique
mardi 17 février 2009
Sacs oxo-biodégradables : la fausse promesse ?
De plus en plus de voix s’élèvent pour souligner les problèmes que suscitent les sacs oxobiodégradables et mettre en doute leur véritable valeur ajoutée environnementale. Les oxobiodégradables ou polyoléfines additivés sont des plastiques contenant un agent oxydant (du dithiocarbamate de fer, du nickel, du manganèse ou du stéarate de nickel) pour favoriser la dégradation.
Le National Advertising Division (NAD), organisme chargé d’évaluer la véracité de la publicité aux États-Unis, vient de recommander à un producteur de sacs oxobiodégradables de modifier ou de cesser de diffuser certaines fausses affirmations concernant leurs produits (p. ex. : 100% oxobiodegradable, Eco-Friendly Plastic Newspaper Bags, Our bags are completely recyclable).
Récemment, le New York Times a renoncé à l’utilisation des sacs oxobiodégradables pour la distribution de ses journaux, optant pour l’utilisation de sacs contenant un haut pourcentage de matières recyclées.
Le débat sur la recyclabilité des sacs oxobiodégradables gagne également les centres de tri du Québec. On apprend en effet que ces derniers ne sont pas recyclables et qu’ils contaminent la chaîne de recyclage. Des appels ont même été lancés aux citoyens pour qu’ils jettent ces sacs dans les bacs à déchets voués à l’enfouissement.
En outre, certains points techniques demeurent obscurs. En effet, les additifs utilisés pour assurer la biodégradabilité des plastiques oxobiodégradables demeurent des secrets de fabrication. Ils sont peu biodégradables, mais plutôt « oxodégradables ». Cela signifie qu’on obtient une réduction du poids moléculaire avec fragmentation du matériau. Les premiers additifs utilisés contenaient des métaux lourds. Si ces derniers ont été abandonnés, les dithiocarbamates, privilégiés aujourd’hui, sont aussi toxiques. Actuellement, ces produits ne répondent donc ni aux normes ni aux logos sur la biodégradabilité des matériaux.
Actuellement, la réglementation en la matière est largement incomplète, voire très laxiste. L’industrie du plastique a certes tenté d’améliorer la situation en créant une certification spéciale pour les sacs recyclables, afin de faciliter la prise de décision des consommateurs lorsque vient le temps de recycler un sac. Cependant, cette initiative s’avère insuffisante, il incombe au gouvernement québécois de statuer sur le cas de ces nouveaux sacs « verts » et de créer le cadre réglementaire adéquat. En attendant, les consommateurs nagent en pleine confusion, ne sachant pas comment se débarrasser de ces sacs; faut-il les mettre dans le bac de recyclage, les destiner au compostage ou les envoyer dans les sites d’enfouissement ?
Finalement, il conviendrait de se demander si les plastiques oxobiodégradables sont plus un argument de marketing vert qu’une réelle occasion environnementale. Il apparaît que la réduction à la source, la réutilisation et le recyclage restent pour le moment les meilleures options possibles pour la gestion des matières résiduelles au Québec. Pour cela, il importe que les fabricants optent pour des matériaux de conditionnement qui constituent les meilleurs choix en matière de durabilité et de performance technique.
L’ICGQ propose désormais à ses clients de les assister dans le choix de matériaux de conditionnement pour leurs produits, en vue d’optimiser la durabilité et la performance technique des produits. En effet, l’équipe technique de l’ICGQ compte désormais un nouveau membre, spécialisé en imprimés intelligents et écologiques!
lundi 16 février 2009
Supermarkets Blamed For Bulky Food Packaging
The latest annual study by the Local Government Association (LGA) calls on supermarkets to contribute towards the cost of dealing with excess packaging.
"Taxpayers don't want to see their money going towards paying landfill taxes and EU fines when council tax could be reduced instead.
"If we had less unnecessary packaging it would cut costs and lead to lower prices at the tills.
"If retailers create unnecessary rubbish, they should help taxpayers by paying for it to be recycled."
The two worst offenders were Waitrose, which had the heaviest packaging at 802.5g, and Lidl, where 42% of packaging was difficult to recycle.
Tesco's packaging was the lightest, at 645.5g, and the Sainsbury's shop produced the lowest level of packaging difficult to recycle, at a third.
Last year, Marks and Spencer had the smallest proportion of recyclable waste, but the latest report reveals they now have the most items wrapped in recyclable packaging.
Each year, the UK generates around 25m tonnes of waste from households.
A large proportion ends up in landfill, where degrading waste gives off harmful greenhouse gases that contribute to climate change.
Landfill tax currently costs councils £32 for every tonne of rubbish they throw away – but that will rise to £48 a ton by 2010.
By 2011, it is estimated councils will face a landfill tax bill of roughly £1.8bn, with homeowners being forced to pay for it.
While packaging experts argue the plastic is there to prevent food from decaying, when it comes to the environment, the message from the LGA is that less is more.
vendredi 13 février 2009
Smart Label: Food spoilage indicator
If you have ever wondered whether the milk in your grocer’s refrigerator might have gone bad or if you left the prepackaged meats on your kitchen counter too long, then a partnership between two University of Rhode Island chemistry professors and a food safety company will soon put you at ease.
Bar codes created by SIRA Technologies for use on refrigerated food products will incorporate an ink that will be rendered nearly invisible. When conditions indicative of contamination exist, the ink will turn red, and the bar code will be rendered incapable of transmitting data when scanned.
“We’ve all heard about people who have been sickened by contaminated food in recent years,” says Brett Lucht, who, along with colleague William Euler, developed the polymer that is added to the bar-code ink to make it change color. “Our partnership with SIRA Technologies is creating a smart packaging system that will prevent thousands of people from getting ill.”
The URI researchers began studying thermochromic pigments—those that change color at certain temperatures—a decade ago when a cookware company sought a polymer that could be added to its products to make them change color when they were too hot to touch.
The heat-sensitive material they developed turned from red to yellow at 180ºF (the temperature at which a person would suffer a burn) and back to red when it cooled. That polymer generated interest from more than 100 companies that sought to incorporate it into dozens of different materials, from specialty fabrics to healthcare products. None of the companies, however, were willing to incur the added costs of refining the polymer for their specific uses.
But when Lucht and Euler modified their discovery into an irreversible polymer—one that does not revert to its original color after changing—SIRA Technologies took notice.
Bob Goldsmith, SIRA Technologies CEO, says that the company had developed a bar code that could sequester pathogens from animal blood and quantify the colony of pathogens with colored organic beads until the color emerged to activate the bar code and report the contamination. However, constant pathogenic mutations made it impossible to keep current with marketplace needs. The company’s subsequent search for an irreversible thermochromic ink led them to partner with URI in what is now trademarked and patented as The Food Sentinel System.
A patent for URI’s thermochromic polymer was received in 2004, and additional patent applications are being pursued.
According to Lucht, other thermochromic indicators are commercially available, but they are expensive, and they lack the archival feature required by regulatory agencies to track and trace products on a global scale. They also rely on human examination to judge whether the product has been rendered unsafe for consumption.
The cost of the SIRA Technologies bar code with the URI polymer will be less than four cents each.
mercredi 11 février 2009
Opinion : le rasoir BIC ecolutions
---
mardi 10 février 2009
Winery adopts anti-counterfeiting system
Chris Costello, proprietor/managing partner at Kosta Browne comments: “The problem of counterfeiting has become more common, especially with wines sold at auction. With the Traceless system, we are doing everything we can to ensure that each bottle is authentic, protecting the quality and integrity of our brand and our customers’ investment.”
The Traceless System is an ultra-covert technology using forensically invisible markers that can be added to printing inks, paper or other packaging elements during the manufacturing process. These markers are detectible using only Kodak Traceless pen readers, which are available to wineries such as Kosta Browne, allowing it to quickly and effectively implement a protection strategy that assures long term security of the product and the brand.
Kodak and Kosta Browne worked closely with label printer Tapp Technologies, of Napa, California, to develop an authentication solution that could be applied invisibly to the packaging without adding steps or costs to production.
“The Traceless system surpasses any other anti-counterfeiting solution currently available because of its ease of use,” says Bill Knopka, Tapp’s VP and general manager. “We simply incorporate Kodak’s technology into our labels to give wine producers an easy to implement, cost effective and long lasting solution for protecting their products. The Traceless system is very versatile and has no effect on the characteristics of the end products or the packaging.”
lundi 9 février 2009
Marketing et développement durable
Progressivement, la notion de développement durable fait son chemin dans les mentalités des consommateurs. Ainsi, près des deux tiers des Français seraient d'accord avec le fait de privilégier les marques qui ont une véritable éthique. De leur côté, les entreprises, poussées par les réglementations, se sont déjà engagées dans cette voie. Les acteurs du marketing font désormais apparaître l'argument écologique au niveau de l’éco-conception, de la vente et de la communication de produits répondant aux standards du développement durable.
L'emballage est un média extrêmement performant. L'information du consommateur est d'ailleurs une des quatre fonctions principales de l'emballage, avec celles de protection du contenu, de sa capacité industrielle (mécanisation, manutention, stockage) et de service rendu à l'utilisateur. Dédier une place significative sur l'emballage, pour dire au consommateur que l'objet qu'il a entre les mains n'est pas un déchet, mais de la matière à recycler, et lui donner des consignes de tri sont de très bonnes choses. Plusieurs initiatives sont d'ores et déjà engagées dans ce sens par des marques et des distributeurs. Cependant, une démarche collective et labellisée apporterait un peu plus de clarté et enrayerait peut être le scepticisme des consommateurs, qui restent très méfiants vis-à-vis des industriels.
dimanche 8 février 2009
Feedback on oxo-biodegradables
Dans son commentaire Mojo, confirme les craintes de beaucoup et reprend plusieurs points qui ont déjà été mentionnés dans Pakbec (voir dossier Oxo-biodégradable).
Second, no scientific data has ever been presented to show that oxo-biodegradable additives will render plastics completely biodegradable under the anaerobic conditions found in landfills. This is reinforced by a recent NAD finding that the claims of one oxo-biodegradable supplier, Dallas-based GP Plastics, were not supported and did not meet the requirements of the Federal Trade Commissions Environmental Marketing Guides. This from a December 8, 2008, press release: “National Advertising Division of the Council of Better Business Bureaus (NAD) noted that the advertiser’s claim that PolyGreen bags are disposable through ordinary channels should similarly be supported by competent and reliable scientific evidence that the entire plastic bag will completely break down and return to nature…within a reasonably short period of time after customary disposal. However, NAD determined that the evidence in the record did not support that claim.”
Third, “recyclability” claims of oxo-biodegradable plastics are also unsubstantiated. In fact, large recyclers of polyethylene—Trex (http://www.trex.com/) is a good example—have expressed concerns about the negative impacts that oxo-biodegradable additives will have on recycling. In September of last year, Trex put it this way: “Unless and until the long-term durability testing concludes that the oxo-biodegradable polyethylene (OBPE) will not have an adverse effect on our product, Trex cannot support the introduction of OBPE materials into traditional recyclable Polyethylene streams.”
On the PET front, the Association of Postconsumer Plastic Recyclers issued this cautionary warning on oxo-biodegradability: “APR asks those who advocate and specify degradable additives to consider the sustainability implications of degradable additives that lower the functionality of recycled post consumer plastics when included with recyclable plastics. Degradable additives that weaken products or shorten the useful life of durable plastics would have a strongly negative impact on post-consumer plastics recycling. APR provides its PET Critical Guidance and Applications Guidance to evaluate PET bottle innovations.”
Biodegradable products and packaging are simply not the panacea to solid waste that many suppliers claim, especially when these products wind up in landfills. The work of William Rathje (author of Rubbish) shows that today’s landfills are designed to preserve our trash, not make it magically disappear through “biodegradation.” Rathje found large amounts of readily “biodegradable” materials during his 15 landfill excavations throughout North America in the 1980’s. For example, he notes 40-year-old newspapers that were still legible and “fresh looking” lettuce that was 5 years old. I would urge that your readers familiarize themselves with his work in order to better understand what does and does not happen in a landfill.
In conclusion, there should be emphasis on the creation of infrastructure to manage “compostables” rather than search for “biodegradable” alternatives that will wind up in landfills. Perpetuating the misconception that oxo-biodegradadable materials will fully biodegrade in a landfill works against the Reduce, Reuse and Recycle philosophies that have been developed over the past two decades. I would urge packaging professionals to continue to focus on solutions that can be diverted from landfills and incinerators to recycling and composting facilities. This would be in keeping with the Environmental Protection Agency’s Solid Waste Hierarchy.
samedi 7 février 2009
Point of view: Use bioplastics with caution
Speaking at the PCD Congress in Paris this week, Professor of Bio-polymer Science and Engineering Stéphane Guilbert said use of certain materials can be accompanied by unwelcome ethical consequences.
vendredi 6 février 2009
Retombées économiques de l’écoconception
jeudi 5 février 2009
Confusion abounds regarding environmental claims of degradable bag industry
As the use of degradable plastic increases, so does the confusion surrounding the environmental claims put forward by the degradable bag industry. Recycling Council of British Columbia (RCBC, Canada) has created this backgrounder with the hope of better informing the public, elected officials and the media. This document provides an overview of degradable plastics and outlines some of the principal concerns surrounding the use of oxo-biodegradable plastics, a degradable plastic increasingly being used in disposable carrier bags.
Issues of Concern:
Questionable Environmental Claims
In the past few years, a number of concerns questioning the environmental claims and implications of oxo‐biodegradable bags have been voiced. In terms of performance, it has been questioned how long these bags take to biodegrade and if it is possible for the bags to biodegrade in landfill conditions given the lack of aerobic bacteria. More importantly, concerns regarding if toxins remain in the environment after the product has appeared to breakdown continue to arise.
As EPIC has highlighted in relation to degradable bags, the Canadian Standards Association and Competition Bureau recently released a new set of guidelines to prevent businesses from misleading consumers about the green benefits of their products. The new rules require environmental claims to be clear, specific, verified and substantiated with erroneous or broad statements considered unacceptable. Terra Choice, the Canadian environmental marketing agency responsible for Canada’s EcoLogo program, has taken the issue a step further by publishing a document entitled the Six Sins of Greenwashing, which some critics may find of relevance to this issue.
Lack of Third‐Party Verification
One way to address and overcome questionable environmental claims is through the development of a certification program that presents third‐party verification of a product meeting specified standards. A variety of such certification programs exist for compostable plastics (e.g. ASTM D6400, ISO 17088, BPI, BNQ 9011‐911) however, oxo-biodegradable plastics do not meet these standards and as such would require their own branch of certification. Such a program does not exist at this time.
Unknown Effect on Plastics Recycling Stream
Beyond concerns about whether degradable bags break down in a timely and clean manner, is the question of how degradable bags may affect the plastics recycling stream. While few municipalities in B.C. currently accept plastic bags for recycling, the introduction of a province‐wide stewardship program for packaging could change this dramatically. The B.C. Ministry of the Environment currently has packaging listed as a products category under their list of New Products Under Consideration.
In August of 2007, Recyc‐Quebec released a study that assessed the potential impact of degradable bags on the recycling of conventional plastic bags. Among the degradable bags evaluated were two types of oxo‐biodegradable bags. The study found that while one version was compatible with traditional plastic bag recycling the other was not.
These results suggest that not all oxo‐biodegradable bags are created equal and offer additional support for developing clear standards and third‐party verification as discussed above. Clearly, more research will be required on the recyclability of oxobiodgradable bags available in the B.C. marketplace if they are expected to enter the conventional plastic recycling stream.
Use of Non‐Renewable Resources without Recovery
A final concern about oxo‐biodegradable bags is that the product is composed of nonrenewable, fossil fuel‐based inputs and there is little difference in regards to energy and resource‐use when compared with conventional disposable plastic grocery bags.
If oxo‐biodegradable bags are meant to break down in a landfill environment, as they are largely promoted as doing , the products will not be recovered through recycling, resulting in a loss of resources in the same way these resources are lost through the currently used disposable plastic bags.
mercredi 4 février 2009
Une révolution plastique dans l'emballage du lait
«Jusqu'à présent, nous conditionnions notre lait en brique. Comme nous l'avions fait il y a deux ans pour les jus de fruits, nous avons souhaité développer en parallèle le conditionnement en bouteille plastique, qui représente la moitié du marché », explique le président de LSDH, Emmanuel Vasseneix. « Mais si nous avions fabriqué le même produit que nos concurrents, nous n'aurions eu aucun moyen de nous démarquer. Il nous fallait donc innover pour exister. » A la différence des bouteilles classiques en PEHT fabriquées par extrusion (un procédé mécanique également utilisé en métallurgie), les nouveaux flacons sont faits à partir de préformes en polyéthylène téréphtalate (PET), ces petites éprouvettes étant soufflées sur une machine juste avant leur remplissage. Ce procédé est très répandu pour conditionner les liquides comme l'eau ou les jus de fruits. Mais personne n'avait encore réussi à souffler une bouteille blanche utilisable pour des produits laitiers. « Le problème, c'est que le lait est photosensible. Il fallait donc concevoir une préforme qui fasse barrière à la lumière pour une conservation fiable à 100 % », insiste François Desfretier, patron de PDG Plastiques.
Double avantage
La solution est toute simple. Elle consiste à mouler successivement 2 préformes l'une sur l'autre. La couche extérieure est blanche et réfléchit partiellement la lumière, la couche interne est grise et absorbe la lumière résiduelle. «C'est un procédé bien connu dans l'injection que nous avons appliqué à la préforme. On peut se demander pourquoi on n'y avait pas pensé plus tôt», s'amuse son inventeur, Alain Viron. L'avantage est double.
Le système préforme-soufflage supprime l'opercule en aluminium, remplacé par un simple bouchon qui assure une étanchéité totale et permet de stocker le lait à l'horizontale dans le réfrigérateur. Avec 1,3 milliard de bouteilles vendues chaque année en France, il serait ainsi possible d'économiser 6.000 tonnes d'aluminium. Quant au poids de la bouteille, il s'allège, dans une logique d'éco-conception. Le premier modèle pèse 28 grammes contre 30 grammes pour une bouteille classique. Un modèle à 22 grammes est en test et ses concepteurs n'excluent pas de descendre à 18 grammes.
--
mardi 3 février 2009
Plastique : les industriels préparent l'après pétrole
Fabriquer du plastique à partir de blé ou de pommes de terre ? Spécialistes des bioplastiques et pétroliers s'y sont résolus : les solutions existent, mais l'offre doit se structurer.
La biomasse : première ou deuxième génération ?
Bioplastiques et écologie : un mariage complexe !
---
The future of printed electronics
dimanche 1 février 2009
Plastiques oxo-biodégradables: mise au point
- Je suis certes, membre de SERPBIO, mais tout ce que je dis n'est pas nécessairement endossé par l'association qui peut éventuellement se dissocier de mes prises de position. Quoiqu’en l'espèce, je doute qu'il y ait un profond désaccord entre ce que j’ai publié dans Pakbec à ce jour et SERPBIO au sujet des plastiques additivés.
- On m’accuse de tronquer l’information. Je n’ai pourtant fait que reprendre diverses informations éparses sur différents sites et journaux crédibles. Je n’ai pas inventé la position de la NAD et j’ai repris l’ensemble du communiqué concernant les oxo. Je dois rappeler ici que le New York Times a même renoncé à utiliser les sacs oxo. Par ailleurs, ici, au Québec, plusieurs centres de tri confirment que les sacs oxo contaminent leur chaine de recyclage. Ils vont même jusqu’à inciter la population à les jeter avec les déchets destinés à l’enfouissement.
- Si je n’ai pas reporté les réponses et correctifs de Polygreen et de Sealed Air, comme certains me le reproche, c’est parce que je n’ai pas eu accès à cette info. Dans tout débat, je suis plus que favorable à la procédure contradictoire. Je ne manque donc pas de reprendre les arguments qui sont objectés aux critiques des oxo ; la preuve, quand un certain MS2 a laissé un commentaire défendant les oxo je l’ai repris comme «Point of View».
- Je ne considère pas faire ici de la polémique. Je ne fais que recouper et diffuser des informations. C'est peut-être plus dans la forme que cela prend un caractère controversé, parce qu'avec un blog alimenté quotidiennement, les critiques peuvent sembler récurrentes, mais il ne s’agit pas d’un acharnement. PakBec a surtout pour ambition de demeurer un lieu de débats d’idées et n’entend pas sombrer dans le sensationnalisme.
- Je n'ai jamais attaqué nommément aucune compagnie et tout ce que je mentionne est disponible sur le net et je prends soin de citer les sources. Cela fait peut être des mécontents, mais il faut désormais s'adapter à la nouvelle réalité des blogs, de l'information continue et de la veille citoyenne. C’est une nouvelle contrainte pour les producteurs, qui pousse à davantage de transparence et de rigueur, un progrès que personne ne peut regretter dans la mesure où cela amènera les consommateurs à faire des choix éclairés.
Encore une fois, je ne prends position pour aucun produit, et je ne fais de lobbying pour aucun plastique. PakBec s’est donné un champ d’intérêt plus large que les débats autour des bioplastiques et des plastiques oxo-biodégradables. Pakbec s’intéresse aussi aux nouvelles tendances en matière d’emballage émergents (éco-responsables, intelligents, actifs et nano)
Pour finir, j’invite ceux qui le souhaitent à lire l’ensemble du "Dossier oxo-biodégradable", ainsi que ces articles récents :
- L’éditorial du Packaging World Magazine (Janvier 2009): Oxo-biodegradability?
- L’article publié dans le Telegraph Journal: Waste boss clears up confusion over plastic bags
-