vendredi 9 avril 2010

Emballage et suremballage : Must et Mal

Je partage avec vous deux articles intéressants publiés cette semaine dans le quotidien Ouest-France.
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Trop emballer: cela coûte cher et c'est mauvais pour l'environnement. Démonstration au supermarché Leclerc, dans le cadre de la Semaine du développement durable.
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On paie trois fois: « Il ne s'agit pas de culpabiliser les consommateurs, ajoute Marc Mutin. On veut juste dire qu'à notre échelle, on peut tous faire des efforts. L'emballage, on le paie trois fois : quand on le met dans le chariot, quand on le jette et quand il est incinéré... »
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Éviter les emballages inutiles: La palme revient aux tubes dentifrices, systématiquement enfermés dans une boîte. Autre mauvais exemple : les cartons entourant les packs de yaourt. « Il faut bannir tous ces emballages qui passent directement du chariot à la poubelle. »
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Vivre sans emballage : est-ce possible ?
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Un kilo d'ordures ménagères par jour par habitant. Édifiant. Fatiguant aussi de revenir de courses, avec une tonne de carton qui traîne sur la table. À chaque plein de course, un sac poubelle rempli. La faute au marketing et à l'esthétique ? Qui se plaindra d'avoir un joli emballage coloré, attractif, appétissant ? Les industriels le savent bien et le « packaging » fait aujourd'hui l'objet d'attentions toutes particulières.
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