mardi 27 mars 2012

Paper-based Packaging: Functional and Sustainable Coating


I will be presenting at the upcoming The 2012 TAPPI PLACE Conference, scheduled for May 6-9, 2012 in Seattle Washington USA.  

My talk entitled: "Paper-based Packaging: Functional and Sustainable Coating"  will be focused on the application of barrier on paper-based packaging.


Agenda

1.     Paper-based Packaging : Trends and Market
2.     Enhancing barrier properties : Why Wax is on the Wane?
3.     Extrusion coating:
a.     Conventional resin: recyclability and sustainability
b.    Renewable and compostable resin (bioplastics)
4.     Water-based coating: A bright future
5.     Eco-friendly and Innovative Paper-based Packaging
6.     Take home…

mercredi 14 mars 2012

Eco-friendly packaging: More Interest…more Confusion


More U.S. shoppers are interested in choosing eco-friendly packaging, but they're confused about which types are best for the environment, according to a study on packaging and the environment released Monday.

The study from the New Jersey marketing firm Perception Research Services reports that 36% of shoppers in 2011 were likely to choose environmentally friendly packaging, a 29% increase over 2010. Half of the shoppers polled said they were willing to pay more for such packaging. One-third of the shoppers said they bought more of a product if its package was labeled "recyclable" or "made from recycled material," and a quarter of the shoppers said they have switched brands for more eco-friendly packaging.

Packaging had the biggest effect on buying behavior if it was labeled "recyclable," "made from recycled materials" or "easier to recycle," or if it was marked with a recycling symbol. Conversely, made with less material is less influential.

Ironically, while shoppers continue to notice environmental claims at a high level, they are increasingly frustrated by the information provided. One in five shoppers said packaging didn't include enough environmental information and provided confusing claims, the study found. Many respondents said they didn't know which packaging was best for the environment.

Importantly, fewer shoppers feel that manufacturers’ motives are primarily honorable (57% vs 61%).  Shoppers are becoming more skeptical of manufacturers behaviors and motives in this area, as more state that companies are increasingly self-serving (enhance reputation; realize profit gains) and show less concern for the environment. 




mardi 13 mars 2012

Bioplastics News: Myths & Truths, Guideline and Global Picture


Bioplastic myths and truths

Myth 1: Bioplastics are organic, and thus good for the planet
Myth 2: Bioplastics are biodegradable 
Myth 3: Bioplastics are recyclable
Myth 4: Bioplastics are non-toxic


Bioplastics Council releases free industry guides

SPI’s Bioplastics Council is releasing two industry guides in an effort to support bioplastics education and explore the various subjects that impact the plastics industry. The free guides are titled “Understanding Biobased Carbon Content” and “Life Cycle Analysis Primer – What, Why and How.”


A map updating the global bioplastics picture

With the first wave of biopolymer production now reaching commercial scale, the news flow for further such projects is focused mainly on Europe - especially Italy - and the Americas.

With abundant feedstocks of sugarcane, corn and biomass, it is not surprising that activity remains strong in Brazil and the US. In Europe, Italy has used tax breaks and is promoting the use of compostable plastic bags to stimulate the industry.



mardi 6 mars 2012

Stand-up Pouches: Maximum Flexibility, Sustainability and Convenience


Consumers’ nomadic life-styles and the growing number of single and senior households favor a trend toward single and small-portion packs. Flexible packaging, especially stand-up pouches constitute the ideal solution.

The trend toward stand-up pouches packaging has been mainly driven by companies looking for ways to increase shelf appeal and differentiate their products from the competition and add consumer convenience. Stand-up pouches can be used as an additional marketing tool for brand owners looking to boost sales.

From an environmental point of view, pouches are more sustainable than traditional packaging formats (cans, boxes or rigid plastic container). They utilize much less material, improve the product to package ratio and eliminate over packaging and waste. Depending upon the application, pouches can weigh up to 95% less than rigid containers and take up less than 10% of the space typically used by rigid containers. In addition, pouches require much less landfill space than other containers.

In conclusion, stand-up pouches provide form, function and convenience. They are an innovative marketing approach to stimulate the sales of a stagnant brand or increase the acceptance and success of a new product introduction.

I share with you this interesting article published today in Chicago Tribute, confirming the growth of pouch  in food and beverage packaging
Packaged food makers are thinking outside the bottle and can. More to the point, they're increasingly partial to pouches. The Chicago Tribute cited a study done by the Mintel Group which says in 2011 that overall pouch use in consumer products, including shampoo and pet food, has increased 37 percent since 2007.

lundi 5 mars 2012

« Survivre Sans Emballage! », NON. Lutter Contre le Suremballage, OUI



Marie-Eve Cloutier a très bien résumé la conférence que j’ai donnée dans le cadre des 48 heures de la communication pour le développement durable (Eastman, 16 et 17 février 2012)

Ci-dessous l’article publié dans GaïaPresse :

Le Défi « Survivre Sans Emballage! » consiste à éviter un maximum d’emballages pendant la Semaine québécoise de réduction des déchets. Mais survivre quotidiennement sans emballage, est-ce possible? « Je crois plutôt que la vraie question devrait être comment lutter contre le suremballage », précise Islem Yezza, directeur technique chez Cascades et spécialiste en emballages.

L’emballage, ce mal aimé

Selon Islem Yezza, on critique beaucoup les emballages, car ils sont très visibles et qu’ils sont immédiatement perçus comme des déchets. « On oublie souvent le rôle de l’emballage. Il protège, transporte, conserve et donne de l’information sur le produit qu’il contient », fait-il valoir.

Selon un rapport préparé par la FAO, le tiers des aliments produits chaque année dans le monde pour la consommation humaine, soit environ 1,3 milliard de tonnes, est perdu ou gaspillé. « En plus de garantir la santé et la sécurité du consommateur, je crois aussi que l’emballage à un rôle à jouer pour éviter ce genre de gaspillage » ajoute Islem Yezza.

D’après le spécialiste en emballage, sur les 13 millions de tonnes de déchets produits annuellement au Québec, seulement 600 000 tonnes sont des déchets d’emballage, dont la moitié est récupérée. L’emballage représente aussi seulement 10% de l’impact environnemental des produits alimentaires.

L’écoconception est la clé

De plus en plus de consommateurs veulent des produits à la fois écoresponsables et pratiques. Pour arriver à cette fin, Islem Yezza croit qu’il faut penser à l’écoconception du couple produit/emballage. « On doit concevoir mieux avec moins : utiliser moins de matières qui ont un fort impact sur l’environnement, éliminer ou réduire les substances toxiques qui risquent de migrer vers les aliments et maximiser la durabilité de l’emballage et ainsi retarder sa mise aux rebuts. »

L’écoconception s’avère également une démarche profitable pour les entreprises. Comme le précise Islem Yezza, un emballage «écoconçu» signifie moins de matières premières, moins de transport, et moins de déchets, ce qui entraîne une augmentation des profits puisque les coûts de production sont réduits. « Nous avons donc un gain environnemental, un gain économique, mais aussi un gain en ce qui concerne l’image de la compagnie » ajoute Islem Yezza.

Vraiment bio, le bioplastique?


Depuis quelques années, on entend beaucoup parler de bioplastique. Cependant, d’après le directeur technique chez Cascades, la gestion de fin de vie de ces plastiques est un casse-tête et leur durabilité est mise en doute, sans compter que le vocabulaire utilisé sème la confusion : « On utilise les mots «biodégradable», «compostable», «dégradable», «oxodégradable», etc. La sémantique est complexe et c’est difficile pour le consommateur de faire un choix éclairé. »

De plus, une mauvaise gestion de la fin de vie des bioplastiques peut avoir des effets pervers sur l’environnement. « Si un bioplastique se retrouve dans un site d’enfouissement, la matière organique va se transformer en méthane, donc émettre des gaz à effet de serre. Dans un centre de recyclage, il va contaminer les autres types plastiques », explique Islem Yezza.

Bref, Islem Yezza rappel aux consommateurs que tous les matériaux avec le préfixe «bio» ne sont pas nécessairement bons pour l’environnement. « Il faut informer le consommateur pour qu’il comprenne la véritable valeur ajoutée des bioplastiques. Les comportements à encourager demeurent pour l’instant les 3RV », conclut-il.

vendredi 2 mars 2012

Emballages alimentaires : protéger le consommateur ou l’aliment?


Je vous invite à lire mon article publié dans le dernier numéro de la revue l’Actualité Alimentaire : Emballages alimentaires : protéger le consommateur ou l’aliment?

Oui, il y a migration des huiles minérales vers les aliments; oui, il pourrait avoir un risque sur la santé humaine; oui, il existe des solutions, des plus radicales aux plus coûteuses. Mais il faut rappeler que nous ingurgitons quotidiennement de nombreux composés potentiellement toxiques, et il n’est pas démontré que les emballages doivent être davantage incriminés que d’autres sources de contamination. Si jamais le cadre réglementaire/législateur impose de nouvelles restrictions suite à des études toxicologiques poussées,  des solutions sont envisageables, mais elles ont un prix. Un prix dont le consommateur devra s’acquitter.

Pour le moment, il faut importer un peu de rationalité dans le débat pour couper court à tous les fantasmes et surtout au sensationnalisme journalistique. Il faut relativiser. Si l’on s’alimente de manière variée et équilibrée, le risque pour le consommateur est négligeable.